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 Prise de risques w/Clarke kom Skaikru (ABANDONNE)

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Lexa
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MessageSujet: Prise de risques w/Clarke kom Skaikru (ABANDONNE)   Prise de risques w/Clarke kom Skaikru (ABANDONNE) Clock10Mar 4 Oct - 14:09

Prise de risques
w/Clarke kom Skaikru
Le soleil terminait sa course quotidienne à l'horizon. Ses rayons baignaient la terre d'une lueur de feu avant de disparaître loin à l'horizon derrière la multitude d'arbres du territoire du Peuples des Arbres. Il était temps. Le temps du voyage, le temps des réponses. J'avais besoin de réponses et cela plus que jamais. J'avais besoin de rassurer mon peuple et pour ça une seule solution: me rendre moi-même vers ces gens tombés du ciel. Certes j'avais déjà envoyé un éclaireur, un des meilleurs d'ailleurs, mais avait-il seulement eu l'idée du potentiel danger que représentait ces étrangers ? Cette menace qui pesait sur nous, cette inquiétude constante qui ne cessait de créer des rumeurs dans Polis ? Je devais en avoir le coeur net. Et pour cela, une seule solution.

C'est lorsque la nuit fut tombée que je quittai la salle du trône pour me rendre dans ma chambre. Je me défis de mon armure que je rangeai dans une armoire et je me vêtis d'habits chauds et d'une armure plus discrète et plus légères. Des vêtements sombres qui ne me trahiraient pas dans l'ombre des arbres. Je me démaquillai également de mes peintures tribales. Le but de ma mission était avant tout la discrétion. Mais au cas où mon plan tourne mal et que je me faisais voir, je miserai sur l'insouciance et la naïveté avant de prendre la fuite en cas d'extrême danger. Seule contre une centaine d'étrangers, je ne vaudrais jamais le poids même si j'avais l'avantage de connaître le terrain. J'emportai également avec moi une petite sacoche avec des provisions et attachai mon épée à ma taille.
Prête pour le voyage, je sortis de ma chambre sous l'oeil soucieux de Titus qui tentait de me dissuader depuis le matin même que ce n'était pas une bonne idée de m'y rendre seule. Sans un mot, je lui répondis d'un sourire rassurant avant d'emprunter l'ascenseur pour me rendre dans les écuries. En effet, le voyage durait plusieurs heures. Si tout va bien, je devrais arriver peu avant l'aube. Si je ne voulais pas en avoir pour plusieurs jours, j'étais obligée de prendre un cheval.
Dans les écuries, je me dirigeai instinctivement vers le cheval le plus rapide. D'une robe blanche maculée de petites tâches grises, ses jambes fines et son poids léger faisaient de lui l'une des montures les plus rapides de Polis. Je le sellai et aussitôt je partis, quittant les lumières des torches réconfortantes de Polis pour me diriger uniquement sous la douce lueur d'une lune ronde et d'étoiles capricieuses qui se cachaient derrière quelques nuages.

J'élançai mon cheval au galop. Il filait tel un éclair blanc à travers la forêt. Pour l'avoir traversé de fond en comble des dizaines de fois, je connaissais le territoire Trikru par coeur, pas besoin de cartes. Et si je me perdais, les étoiles m'aideraient à retrouver le Nord. La route fut longue, mais des plus calmes. Je traversai maintes paysages différents. Je gravis des collines, slalomai entre les arbres, partis au grand galop dans de vastes clairières dégagées. Je passai à proximité de petits villages endormis alors que je prenais la route du plus grand d'entre eux: Ton DC. Le vaisseau s'était écrasé de l'autre côté de la rivière. Je longeai durant quelques mètres la rivière en amont afin de trouver un coin d'eau plus calme pour pouvoir traverser facilement avec mon cheval. Une fois cet obstacle passé, je trottai encore quelques kilomètres. La nuit arrivait à sa fin, et mon voyage aussi. Je descendis de mon cheval et je l'attachai à un arbre. J'allais continuer à pied, un animal d'une aussi grosse taille me trahirait certainement.
Je marchai d'un bon rythme et enfin je l'aperçus. Je me couchai au sol et observai. De faibles remparts de bois étaient en train d'être mis en place, des lueurs de torches semblaient éclairer l'intérieur de leur village. De là, je n'arrivais rien à distinguer de plus: il me fallait prendre de la hauteur. Je restai néanmoins là quelque instant pour être sûr que personne ne soit aux alentours en train de faire la garde. Je me relevai quelques minutes plus tard, me tapissant dans l'ombre. J'alternai mon regard entre le campement pour m'assurer qu'aucun trouble-fête ne vienne déranger mon excursion, et le haut des arbres pour trouver celui avec les branches les plus solides. Lorsque je choisis, j'agrippai les branches et me hissai dans un arbre touffu d'où j'avais un bon point de vue sur le campement des étrangers.

Tranquille. C'était la définition que je lui donnai à première vue. Personne ne semblait se soucier d'une attaque quelconque. Bien qu'en tendant les oreilles, je crus entendre des cris et des complaintes de gens blessés. Quelques tentes étaient dressés sous lesquels ils dormaient sûrement, un feu central était en train de mourir dans ses braises. La lune se couchait, tandis que les premiers rayons du soleil venaient éclairer la cime des arbres. J'étais bien sur cette branche. Là, tranquille, quasiment invisible à travers les branchages. J'y resterai sûrement plusieurs heures.
© 2981 12289 0


Dernière édition par Lexa le Dim 4 Juin - 17:43, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Prise de risques w/Clarke kom Skaikru (ABANDONNE)   Prise de risques w/Clarke kom Skaikru (ABANDONNE) Clock10Dim 9 Oct - 23:28

Prise de risques

ft Lexa & Clarke


« This deadly burst of snow is burning my hands. I'm frozen to the bones, I am a million mile from home, I'm walking away. I can't remind your eyes, your face. I'm ready for the fight, and fate. »
La nuit a été longue. Très longue. Très éprouvante, aussi. Dans l’après-midi, notre camp a été attaqué. Par des guêpes, comme nous n’en avions jamais entendus parler. Enfin, attaqué n’est pas le mot qui correspond, car leur ruche s’est écrasée au sol, sous un vent relativement violent. Autant vous dire qu’au vu de l’horreur des scènes qui en ont découlées, je préfère ne pas trop m’attarder sur tout cela ! J’ai eu la malchance de figurer parmi les individus piqués par les guêpes. J’ai eu la chance d’avoir été relativement épargnée, comparée à certains. Bien entendu, à peine aies-je été en état de tenir à nouveau debout sans voir mon équilibre me faire défaut, ni sous subir de fortes douleurs, j’ai tout mis en œuvre pour venir en aide aux autres. Les soulager de mon mieux, ce fut tout ce que je pouvais faire, ne connaissant pas la procédure – si tant est qu’il y en ait une – à suivre en de tels cas. Assez compliqué, de surcroît, de soigner des gens, quand on ne sait pas vraiment avec quoi leur concocter des remèdes. Autant dire que j’ai passé des heures atroces, suite à l’attaque de l’essaim, qu’au cours de la nuit. Certains n’ont pas survécu, ayant tous été piqué très souvent. En observant les blessés, j’ai pu déduire cela : le nombre de piqures engendre divers symptômes, et aboutissant donc, dans le pire des cas, à la mort de la victime. Et après, on dit que la Terre est une planète dont on a tous rêvé, toute notre vie durant hein ! De vous à moi, j’ai tout l’impression que cette planète n’est guère ravie de nous retrouver. Mais on tiendra le coup. On luttera. On résistera. Il le faut bien. On n’a pas le choix. L’Arche doit venir nous rejoindre. Malgré les propositions de Wells, et même celles de Finn, de me relayer auprès des blessés, j’ai refusé de les laisser. Je pouvais me priver de dormir. C’est pas comme si j’étais la seule à avoir une formation médicale, mais en fait, attendez : si… Alors le repos, j’y goûterais plus tard. Et plus tard, c’est certainement pas maintenant. Là, alors que l’aube commence à poindre, j’ai juste envie de prendre l’air. De sortir de ce camp, pendant quelques minutes, pour me retrouver un peu à l’écart. J’ai prévenu Wells et Finn, leur laissant l’occasion dont ils rêvaient tant : celle de me seconder. Je leur ai indiqué où je comptais aller – pas loin, bien entendu – et leur ait fait promettre de venir me voir, au moindre problème.

En m’éloignant du camp, je ne délaisse certainement pas les problèmes qui pèsent sur ma conscience. D’autres enterrements seront à prévoir. Et j’espère que ça s’arrêtera à ça, que les actuels blessés – qui se reposent – s’en sortirons. Ca parait en bonne voie, vous vous en doutez bien, sinon, je n’aurai jamais pris la peine de quitter leur chevet, dussé-je m’écrouler de fatigue à veiller sur eux. Et puis il y a l’expédition. « Tu ne comptes pas aller avec les autres, rassure-moi ? », me demande Wells, qui m’a visiblement suivi, en retrait. Je lève les yeux au ciel tout en poussant un soupir. Sans même prendre la peine de m’arrêter, ni de me tourner vers lui, je lui réponds : « Bien sûr que non. Je serais plus un poids qu’autre chose, pour eux, avec la nuit que je viens de me taper ! ». Et même moi, j’entends le regret qui transparait dans ma voix. Cette expédition, on l’avait préparé – minutieusement – tous ensemble. Du moins, le petit groupe qui avait prévu de s’y rendre. Je suis la seule à savoir lire la carte. Et même si les lieux ont très certainement changé, depuis que la carte a été faite, cela aurait pu s’avérer utile, pour tenter de se repérer jusqu’au Mont Weather. Heureusement, j’ai pensé à apprendre comment déchiffrer une carte à Silas, me disant que ça pourrait être utile. Mais cela, dans l’idée de les suivre, non pas de les laisser partir sans moi. Il était hors de question que je les laisse prendre des risques tous seuls. Je voulais aider à retrouver ce bunker et à sauver les nôtres. Suivre les traces de mon père. Faire en sorte qu’il ne soit pas mort pour rien. Je me rendrais utile autrement. J’espère que mes comparses ne se blesseront pas, ou ne se feront pas attaquer par d’autres insectes, voir par des animaux, sait-on jamais. Là aussi, mes compétences médicales auraient pu être utiles… Là aussi, ils vont devoir faire sans moi. Mais, de toute façon, je me connais : j’aurai culpabilisé de laisser le camp, sachant que les délinquants trouvent marrant de vagabonder dans les parages, sans se préoccuper de se blesser. Des blessures stupidement acquises, j’en ai déjà soignés un petit paquet. Passons…

En entendant que les pas derrière moi continuent à me suivre, au lieu de faire demi-tour, je me fige, et lance sèchement à Wells : « Tu peux m’expliquer ce que tu ne comprends pas dans « Je veux être seule », Wells ? ». Mes mots cinglent l’air, mais ça n’est que justice : à cause de lui, mon père est mort. C’est d’ailleurs ce que je lui signifie d’un regard noir, lorsque je retourne pour le foudroyer du regard. « Je veux t’aider. », tente-t-il de me dire, mais je ne lui laisse pas le temps de s’étaler plus que cela : « Je t’en prie, arrête de croire que je suis une demoiselle en détresse. Et plus encore que j’ai besoin d’être sauvée par toi ! Va veiller sur les blessés et reviens me voir en cas de problèmes. Ou est-ce trop compliqué pour toi ? » Sans un mot, la tête basse, Wells part, à contrecœur. Je sais, je suis plutôt mesquine envers lui, mais c’est plus fort que moi. Bien plus encore à présent que j’ai les nerfs à vif, à cause de l’angoisse que j’ai étouffé ces dernières heures pour être la plus efficace possible, et du sommeil que j’ai repoussé pour ne pas laisser les blessés. Je finis par m’affaler, comme une loque, contre un arbre, m’adossant contre son tronc. La tête appuyée contre celui-ci, je pousse un profond soupir, balayant du regard, sans vraiment profiter du spectacle, le soleil qui se lève. « Je tuerais pour un café… », admis-je dans un soupir, faisant allusion aux rares cafés en poudre qu’il reste sur l’Arche. Quelque chose accroche mon regard, dans la périphérie de celui-ci. Je me redresse et regarde plus attentivement les branchages, avant de secouer la tête : « Et en plus de ça, j’ai des hallu : bravo… », me moqué-je de moi-même. Ca ne pouvait être que cela. L’ombre qu’il m’a semblé percevoir dans l’arbre au pied duquel j’ai choisi de m’installer. Et rien d’autre. De toute façon, la luminosité actuelle ne me laisse pas l’occasion de me pencher plus sur la question. Et dire qu’en fait, non, je ne souffre pas d’hallucinations, ça n’est en rien un contrecoup de la nuit que j’ai passé, mais il y a bel et bien quelqu’un, dans cet arbre. Seulement, comment pourrais-je croire cela possible une seule seconde, étant donné que l’on nous a toujours appris qu’il ne pouvait y avoir de survivants sur la Terre ? Poussant un soupir, je ramène mes genoux vers moi, les serrant contre moi entre mes bras, posant ma tête sur mes genoux.

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MessageSujet: Re: Prise de risques w/Clarke kom Skaikru (ABANDONNE)   Prise de risques w/Clarke kom Skaikru (ABANDONNE) Clock10Mer 12 Oct - 14:10

Prise de risques
w/Clarke kom Skaikru
Tout était calme. Une légère brise caressait les cimes des arbres, agitant leurs feuilles dans un doux froissement. Les premières lueurs du jour s'élevaient dans les cieux, les étoiles disparaissant peu à peu. Les quelques nuages promettaient un lever de soleil somptueux, bientôt teinté de lumières chaudes qui baigneraient la forêt.
Une seule chose venait gâcher ce tableau d'une beauté alors presque irréelle: ce campement. Cette capsule toute faite de métal ne fusionnait pas avec les arbres de la forêt. Mais d'ici quelques années, une fois que le lierre et autres plantes grimpantes auront conquis ses façades, la nature aura repris ses droits et plus personne ne remarquerait cette masse de métal qui s'est violemment créé une place sur une terre où il ne restait plus un kilomètre carré à attribuer à un clan. Et là était le principal problème de cette nouvelle tribu venue du ciel.

Je pensais que tout le monde dormait encore entre les faibles remparts. Vu comme ils étaient construits, je pouvais aisément deviner qu'ils se croyaient seuls, et qu'ils n'avaient été monté que pour se protéger d'éventuelles bêtes sauvages. Je m'étais un peu avancée sur ma branche pour me rapprocher du camp et mieux découvrir son intérieur. J'eus à peine le temps de le scinder que des voix résonnèrent dans les bois. Je tournai la tête dans la direction d'où ils provenaient: contrairement à ce que je pensais, tout le monde ne dormait pas. J'eus à peine le temps de rabattre contre le tronc de l'arbre afin de mieux me dissimuler dans les branchages que j'aperçus deux silhouettes dans la pénombre du matin. Je n'étais plus seule, et ces troubles-fêtes allaient considérablement me déranger dans ma séance d'espionnage. Mais enfin, peut-être pourrai-je en tirer quelques informations intéressantes ? Une voix de jeune femme s'éleva. Elle parlait sèchement en direction de la seconde silhouette, un peu plus en retrait, qui elle avait des épaules carrées et un corps plus massif qui laissait penser à un homme. Je ne compris pas exactement ce qu'ils étaient en train de se dire, mais la fille semblait désirer un peu de solitude. Du peu que je saisis de leur discussion, je crus comprendre qu'il s'agissait du Gonasleng (anglais américain). La langue courante des natifs étant le Trigedasleng, le Gonasleng est beaucoup moins répandu. Seuls les guerriers l'apprennent et pour ma part, on me l'avait appris durant mes années de formation au Conclave. Je le pratiquais beaucoup moins, mais le parlais et comprenais aisément. Il s'agissait d'une information précieuse que je venais d'obtenir: je pouvais donc en déduire que ces gens ne provenaient d'aucun peuple faisant parti de la Coalition.

La silhouette d'homme s'en alla, disparut dans une tente. La seconde continuait de s'approcher et c'est à l'arbre où j'étais installée qu'elle décida d'en faire autant. Pour ma part, je me collai à l'écorce, ralentis ma respiration et espérai qu'elle ne lève pas les yeux. L'inconnue s'assit contre son tronc, soupira et mentionna qu'elle donnerait n'importe quoi pour un.. café ? J'avais beau connaître sa langue, ce mot m'était inconnu. Je profitai de son moment d'égarement pour l'observer. Ses vêtements ne ressemblaient en rien à ce que j'avais déjà pu voir jusqu'a maintenant. Elle portait un pantalon d'une texture qui m'était inconnue et il en allait de même pour son haut. Sa veste, quant-à-elle, semblait en cuir, ce qui me suggéra qu'il y avait des animaux de là d'où ils venaient.
Soudain, la jeune femme leva la tête. Je me rabattis contre le tronc de l'arbre, cessai de respirer momentanément. Heureusement, elle finit par secouer la tête.

- Et en plus de ça, j’ai des hallu : bravo…

Lorsque je pus à nouveau respirer, elle attrapa ses genoux et posa sa tête dessus. Je n'avais pas plus attiré son attention: heureusement pour moi. Désormais, un problème: je venais de recueillir pas mal d'informations, mais pas assez à mon goût. Cependant, c'est tout ce que je pourrais obtenir en restant perchée sur cette branche. Deux choix s'offraient à moi. Un: être trop gourmande m'attirerait peut-être des ennuis. J'attends donc patiemment dans mon arbre que la jeune femme s'en aille et je retourne à Polis. Seulement, combien de temps pensait-elle rester là ? Je ne pouvais pas attendre que le jour se lève totalement, je deviendrais beaucoup trop visible. C'était donc un gros risque. Deux: je suis gourmande, et je descends de l'arbre discuter avec cette jeune femme. J'attendis quelques instants. Mais elle ne bougea pas d'un centimètre. La première solution serait plus sage, mais la seconde me tentait énormément.

Et j'optai pour celle-ci. En me montrant, j'allais leur révéler qu'ils n'étaient pas seuls. Et peut-être qu'ils allaient de ce fait mieux se préparer pour nous attaquer. Mais ainsi, peut-être que je pourrais en apprendre plus sur eux. Et c'est cela qui me poussa à sauter de l'arbre.
Souple dans les genoux, j'amortis mon atterrissage sur le lit de feuilles mortes. En tombant, je fis un certain bruit: mes pieds qui touchent le sol, les feuilles qui craquent et celles qui, trop secouées, tombaient de l'arbre lentement. Je me retrouvai alors à quelques pas de la jeune femme et je choisis de ne pas dégainer mon épée. Mon but était de la surprendre, mais pas de la menacer. J'étais en quête d'informations, pas de mort.

- Je ne te ferai rien, mais j'ai besoin de réponses. Qui êtes-vous, et que venez-vous faire ici ?

Chaque mot était correctement détaché afin d'y ajouter du sérieux sans pour autant adopter un ton méchant. J'espérais qu'elle allait se montrer coopérative et qu'elle répondrait à mes questions.
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