Le début des maux

Depuis sa chambre, le jeune garçon ne parvenait à voir qu'un petit aperçu du couloir de béton. Le béton ne semblait pas tout jeune, sans nul doute était-il dans une vieille forteresse gouvernementale datant d'avant la guerre. Toutefois il avait beau chercher le nom de l'endroit, aucun moyen de trouver un indice quelconque. Ce qui était fort fâcheux à ne point en douter. Les multiples tentatives en ce qui concerne l'ouverture de la porte se sont soldées par de cuisants échecs. Visiblement la porte était fermement solide, aussi bien à ses gonds que au niveau de la vitre servant certainement à l'observation du sujet.

Le sujet étant bien évidement David, même ayant essayait de briser le verre avec un objet contondant aucun succès. Dans sa chambre il n'y avait qu'un lit, une table comprenant une chaise qui se situait juste en-dessous. Après quoi des tableaux décoraient les murs blanchâtres, le seul élément qui ne semblait pas à sa place était une caméra comme celle présente à bord de l'Arche. Par moment il lui arrivait d'émettre un signal lumineux rouge, alors qu'à d'autres moments elle semblait effectuer un mouvement rotatif au niveau de l'objectif de la caméra. Comme-ci elle effectuait un zoom sur les actes du jeune homme. Après quoi la LED infrarouge s'allumait à nouveau, il y avait aussi un microphone sur celle-ci. Peut-être alors quelqu'un derrière un poste d'observation voulait écouter ce que David avait à dire.


Mais alors il devait s'adresser à son audience, de telle manière à les convaincre de venir à sa rencontre. Cependant il faut dire que Stilinski n'avait aucun don pour ce qui était de l'éloquence. La persuasion, la tromperie ou même les représentations tout cela n'était que des compétences appartenant au domaine de l'ignorance chez lui. Et puis il était évident que tôt ou tard, quelqu'un viendrait se présenter à lui pour lui exprimer des attentes et des souhaits que David devrait satisfaire. Sa chambre ou plutôt sa cellule souterraine n'avait aucune faille, le ravisseur devait donc être quelqu'un ayant de grands moyen parmi les primitifs.


En revanche ce qui était étrange, était le simple fait. Que peu importe sur quel type de technologie les individus natifs tombaient, ils n'usaient en aucun cas de tels objets. Alors pourquoi dans cette cellule il y avait-il cette appareil d'étude et d'observation. Avec les informations rassemblaient sur ces individus hostiles, le groupe des cent avait pu déterminer aisément que leur système fonctionner en tribu ou clan. Chacune ayant un territoire limité, comme par exemple l’abstention de celles-ci de s'orienter vers la montagne. En voyant cela, il pouvait déterminer sa position de manière incertaine, mais peut-être juste.


Pour lui il était au Mont Weather, mais alors que cela semblait logique. Car avant il se dirigeait avec sa récente amie, Clarke Griffin. D'ailleurs où était-elle ? Et que voulait ce clan de la montagne qui usait des anciennes installations américaines. Qui plus est s'il utilisait des caméras peut-être qu'il avait d'autres objets utiles. Beaucoup de questions semblaient affluer dans la tête du jeune homme. Mais elle s'estompaient au moment où il perçu des bruits en provenance du côté gauche du couloir. Sans se poser de question il s'installa sur le lit, afin de montrer à ces gens qu'il nétait pas une réelle menace.

Il attendait donc sur le lit en veillant bien à rester en face de la porte. Peut importe ce qui l'attendait, une séance de torture ou alors le strict opposé. Il trouverait une solutions pour les cent au camp.